
« L’homme réchauffe l’atmosphère, les océans et les terres. C’est un changement dont l’ampleur n’a pas été observé depuis des siècles voire des milliers d’années. En plus la preuve d’une responsabilité humaine (dite anthropique) dans les vagues de chaleur, les pluies torrentielles, les sécheresses et les tempêtes tropicales sont beaucoup plus fortes » alerte le rapport du Groupe Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC).
Ce rapport montre du GIEC montre que les futurs climatiques possibles dépendent de la gestion de terre par l’homme. Si les émissions de CO2 continuent d’augmenter les océans et les terres seront de moins en moins capables d’en absorber. Avec le réchauffement de la planète, on assistera à une augmentation de la fréquence et de l’intensité des chaleurs extrêmes sur terre et dans les océans, des pluies diluviennes, de la sécheresse dans certaines régions, des tempêtés tropicales, ainsi qu’à une diminution de la glace de mer arctique, de la couverture neigeuse et du pergélisol, ajoutent les experts.
Ce rapport intègre plus d’avantages l’économie et les sciences sociales soulignent plus le rôle important de la justice sociale dans l’adaptation au changement climatique. Pour ces experts, les impacts observés du changement climatique sont induits par l’homme et a eu des effets néfastes généralisés et entraîner des pertes et des d’images pour la nature et les personnes au-delà de la variabilité naturelle du climat.
La vulnérabilité des écosystèmes et des populations au changement varie considérablement d’une région à l’autre et au sein d’une même région. I eux d’ajouter, qu’environ 3.3 à 3,6 milliard des personnes vivent dans des contextes très vulnérables au changement climatique. Les modèles actuels de développement non durable augmentent l’exploitation des écosystèmes et des personnes aux risques climatique (confiance élevée).
Ainsi avec le réchauffement mondial qui atteindrait +1,5%c à court terme entraînerait une augmentation inévitable nombreux risques climatiques et présenterait des risques multiples pour les écosystèmes et les êtres humains. Les actions prises sur le court terme permettront de limiter les pertes et d’images mais ne pourront pas toutes les éviter.
En fin le rôle le plus important de la justice sociale dans l’adaptation au changement climatique, rapportent-ils.
Rappelons que le GIEC a été créée en 1988 en vue de fournir des évaluations détaillées de l’état de connaissance scientifiques, techniques et socio-économique sur les changements climatiques leurs causes, leurs répercussions leurs causes, leurs répercussions potentielles et les stratégies de parade. Notons qu’en Août 2021 le GIEC a fait son premier rapport pour les parents et enseignants au cours du quel Valérie -Masson Delmotte a déclaré devant : « Nous aimerions que l’ensemble du rapport contribue à améliorer la connaissance du climat dans le monde entier, qu’il soit utilisé dans l’enseignement à l’échelle mondiale pour les adolescents et les étudiants, afin qu’ils puissent acquérir les dernières et meilleurs connaissances disponibles ».
Pour les décideurs ayant participé à cette conférence du 09 Août 2022, les professeur(e)s et les enseignant(e)S pourront également s’approprier ce message, pour faire découvrir ces sujets déterminants pour notre avenir. C’est la première fois dans l’histoire qu’un rapport scientifique a et aura autant d’importance tant, géographique et économique.
En fin le premier rapport indique que pour mettre fin au réchauffement de la planète, il faut au-moins atteindre la neutralité pour le CO2 et réduire fortement les émissions des autres gaz à effet de serre. Il faut également une réduction rapide et brutale des gaz à effet de serre peut brutalement conduire à un climat plus stable et à une meilleure qualité de l’air.
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