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Le vice-gouverneur, Eddy ISELI lance les travaux de l’assainissement de la ville de Kinshasa ce lundi 0612025. Ces travaux seront exécuté par les organisations non gouvernementales Kin Bopeto et FONAK Fond d’assainissement de Kinshasa sous la supervision de Jacques MABAYA Kashit.
Avec son slogan très particulier “ Kinsha ezo bonga” pour dire “ Kinshasa est entré de se reconstruire” le vice gouverneur Eddy IYELI fait preuve d’un acte d’engagement en tant que dirigeant de la province.
Les rues et avenues avenues doivent respecter les normes d’une ville assainie
Accompagné du bourgmestre de la Commune KALAMU, des conseillers municipaux et des hauts cadre de base de la ville, de la Colonelle LyLy représente de l’hôtel de ville, le vice gouverneur Eddy IYELI a lancé officiellement des travaux d’aménagement des routes dans la ville de Kinshasa.
S’adressant au public logeant le long de la route madame LyLy représente de l’hôtel de Ville tient une parole de mise en responsabilité devant les tenanciers des boutiques et autres divers le long de la route et tous ceux qui vendent à même le sol et dit : Kinshasa a besoin de devenir propre et dégagé. Allez occuper des places vides aux marchés. Délocalisez vos étalages et kiosques le long de la route, nous voulons une belle image de la ville. Une fois assainie on aura moins d’accident et maladies hydriques”.
Des ingénieurs topographes, architectes et ceux du sévices de la cadastral étaient présents pour indiquer la limite réelle de la route et celles des parcelles des occupants, tout en respectant la loi de l’urbanisation.
Kinshasa la belle remet encore sa belle robe de ville moderne.
Les populations riveraines ont manifesté leur joie, d’avoir bénéficié à ce grand projet à le grand projet de l’aération a de cet espace publique. Nous avons tendu notre micro aux passants ainsi qu’aux vendeurs le long de la route entretenue.
Madame Move José Fatu une soixantaine révolue avoue au micro de NATUREL CD: “Je suis très ravi de voir les travaux d’assainissement initié par le vice gouverneur Eddy IYELI, qui veut revêtir Kinshasa de sa nouvelle robe, rappelant qu’à l’époque de Mobutu on appelait Kinshasa “Kinshasa la Belle”, si tu viens de n’importe quel pays tu verras des belles maisons avec une route aéré et sans saleté, évoque t-elle.
Un autre passant chauffeur de son état s’exprime “Heureux de voir une fois la voie libre, les chauffeurs de taxi moto, le transport de la ville étaient en insécurité permanente avec cette idée du gouverneur nous allons reconstruire réellement notre ville, je rappelle la population que la route n’est pas un marché ni une poubelle comme le dit le vice-gouverneur dans son discours : BALABALA EZA ZANDO TE”, déclare Mr Delphin chauffeur en ville de Kinshasa.
De son côté un autre posant parle d’une innovation dans la gestion des entités riveraines de Ndili bar le vice gouverneur et toute son équipe. “ Je loue la bravoure du gouverneur qui malgré la boue vient pour nous aider à trouver la liberté de circuler. Avant quand tout était bloqué ici, nous étions exposés à tout genre d’escroquerie et aux accidents suite aux embouteillages. En plus ceux qui vendaient ici à même le sol étaient exposés également aux maladies de mains sales et maladies hydriques. Mais aujourd’hui avec ce système “BALABALA EZA ZANDO TE” j’espère que nous allons bouter hors d’état de nuire aux publics ces différentes maladies.
Des parents et jeunes entrepreneurs devant un défis et restent inconsolables
Martin Luboya, vendeur de téléphones et autres accessoires informatiques se plaint de la perte énorme de ses biens perdus et cassés lors du déplacement de ces objets vers un endroit moins rassurant pour sa clientèle.
“ Cette situation nous plonge dans un chaumage aigue car nous sommes ici pour sauver des vies dans nos familles, il y a de ceux qui sont venus des provinces où il y a la guerre à l’Est et qui n’ont pas de travail à faire mais aujourd’hui on nous dans la rue pour devenir quoi nous avec toutes nos familles ?”
“Je n’ai pas d’autres métiers à faire dans la vie, il ne me reste que ce que vous voyez ici pour survivre, aujourd’hui l’état me dit de quitter la rue, je ne connais même pas l’endroit où ils disent que nous allons chaque fois revendre nos produits.
Je suis mère de six enfants et grand-mère de plusieurs. Je ne sais plus comment me comporter devant cette situation. Le gouvernement peut s’occuper de l’un de mes enfants il a fini ses études il est en chaumage aujourd’hui et moi je resterais à la maison que de venir pour être chasser du marché…”, s’exclame Kapinga Jeannette une ville femme de 63 ans vendeuse de chikwange le long de la route.
Les endroits réservés pour la vente sont moins fréquentés, les gens préfèrent rester le long de la route suite au déchets mal géré dans le marché, avec une odeur nauséabonde et des couches d’ordures insupportables dans certains milieux.
“ Les marchés sont très sales, ça ne nous permet pas d’étaler nos articles librement, avec des odeurs nauséabondes et de lots de déchets par-ci par-là…”
De l’autre côté lors de notre vox pop, un ancien commerçant du tronçon Boulevard-limeté condamne l’approche utilisée par les autorités qui se sont servis de la force à la place de la collaboration avec les dirigés.
“ Nous ne sommes pas contre notre gouvernement, d’ailleurs ce que vient de faire le gouverneur est juste également pour le bien de nous tous, car on aura plus des kuluna qui passaient la nuit dans les kiosques le long de la route. Ce que je déplore c’est le fait de nous amener dans un marché éloigné des gens, là nous n’avons pas de clients en plus on devait collaborer avec nos dirigeants pour leur parler de nos difficultés d’atteindre le nouveau marché irrigué.”
Ces réclamations de la population ont amené à l’élaboration des plusieurs recommandations de là part des habitants de la ville de Kinshasa rencontrer à ce lieu de travaux d’assainissement :
Une franche collaboration avec les autorités de la place. Ils doivent prendre des décisions après une concertation prometteuse pour le Survie de la population. Se réveiller et démolir nos maisons sans avertissement c’est nous Privé de nos droits.
Faire une étude de l’impact sur la vie socio-économique des contribuables et l’impact environnemental. Par exemple où seront jetés ces déchets mis le long de la route, juste après une petite pluie, ils se déversent directement dans les caniveaux.
Nous recommandons également un suivi régulier de la part des autorités comme la route est ouverte maintenant nous demandons à la police de réglementer la circulation en respectant la loi. Toute personne qui conduit un véhicule n’est pas un bon chauffeur. Elle doit également pensé à l’identification des tous les conducteurs dans la ville pour éviter les accidents mortels.
Création de poubelle publiques capable de garder la ville toujours propre. Par conséquent une brigade d’assainissement doit être installé dans toute la ville ils doivent faire la police derrière les récalcitrants.
Instaurer également l’ancien système de salongo comme à l’époque de Mobutu, chaque samedi.
Nous demandons que notre gouvernement établisse une ordonnance qui condamne les producteurs des emballages en plastiques, les gens qui jettent les déchets dans la rue tout comme dans la rivière Ndjili…
A noter que ces activités seront poursuivis sur toutes l’étendue de la ville, les Communes de la ville de Kinshasa poursuivent l’objectif d’une ville assainie “ Kinshasa la belle” “Kinshasa ezo bonga”.
Les engins d’entretiens et autres ont été remis entre les mains des organisations chargées de poursuivre le projet et aux autorités locales sur place.
